Scène humoristique de Deadpool VR, montrant un joueur dépassé par un Deadpool incontrôlable en réalité virtuelle, entre humour et chaos total.

“J’ai pleuré de rire (et de douleur)” : Deadpool VR est totalement incontrôlable !

“J’ai pleuré de rire (et de douleur)” : Deadpool VR est totalement incontrôlable !

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Deadpool VR n’est pas un jeu de super-héros classique. C’est une claque d’absurdité, de violence assumée et d’humour cassé, servie en exclusivité sur Meta Quest 3 et 3S. Développé par Twisted Pixel, ce titre ne cherche pas à vous transformer en héros, mais en catastrophe ambulante bavarde, armée jusqu’aux dents et parfaitement consciente qu’elle est dans un jeu vidéo.

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Une entrée en matière complètement barrée

Tout commence par une tête posée sur une table. Littéralement. Avant même de tenir une arme, on doit ramener notre propre crâne à notre corps. C’est débile, mais c’est Deadpool. Et ça fonctionne. En quelques secondes, on est plongé dans un monde où rien n’a de sens, sauf le plaisir immédiat du mouvement, de l’action, du chaos.

L’approche est arcade à 100 %. Armes qui réapparaissent après chaque lancer, sabres et flingues fixés au corps, rythme effréné sans pause ni tuto inutile. C’est du pur gameplay, brut et sans filtre. Et surtout, ça tourne de façon fluide, sans ralentissement ni cassure d’immersion.

Des sensations VR instantanées

Ce qui marque dans Deadpool VR, c’est la prise en main directe. Les déplacements se font au stick, mais tout le reste passe par les gestes. Un katana en main ? Lancez-le, il revient. Vous voulez jouer au cowboy ? Saisissez vos pistolets à la taille. Chaque action est intuitive. Il n’y a pas besoin d’y penser. On agit, on tranche, on tire, et on recommence. Le tout dans une chorégraphie délicieusement sanglante.

Même les ennemis semblent pressés de se faire découper, tant les coups sont brutaux et stylisés. Ce n’est pas de la violence gratuite, c’est de la violence ludique. Et c’est là toute la différence.

Deadpool est partout. Et il parle. Tout le temps.

La vraie star, c’est lui. Deadpool ne vous laisse jamais respirer. Il vous parle pendant les phases d’action, se moque de vos échecs, commente vos moindres choix. Même l’interface devient un prétexte à la vanne. Vous activez les options de confort ? Il vous traite de fragile. Vous manquez un tir ? Il rigole, puis enchaîne sur une référence douteuse.

La performance vocale de Neil Patrick Harris (Doogie Howser, How I Met Your Mother) est bluffante. Il donne au personnage un ton ironique mais attachant. Le résultat : une vraie complicité entre joueur et personnage. Deadpool est à la fois votre avatar, votre coach et votre bouffon personnel. Et il n’a aucune limite.

Une technique bien huilée, un confort surprenant

Twisted Pixel n’a pas seulement misé sur l’énergie. Techniquement, le jeu tient parfaitement la route. La stabilité du framerate, la lisibilité des décors, la réactivité des contrôles : tout est à la hauteur. Mention spéciale au menu d’options de confort, extrêmement complet, qui permet à tous les types de joueurs VR de trouver leurs réglages idéaux.

Même après 15 minutes intenses, l’immersion reste stable, sans nausée ni gêne. Un vrai tour de force pour un jeu aussi mouvementé.

Une nouvelle référence pour la VR action

Avec Deadpool VR, Meta enrichit sa gamme de jeux super-héroïques d’un titre radicalement différent. Après Iron Man VR et Batman: Arkham Shadow, voici enfin une expérience qui n’essaie pas de vous rendre noble ou puissant. Juste incontrôlable, drôle et sanglant. C’est un jeu qui va vite, qui tape fort, et qui fait rire à chaque instant. Et surtout, il le fait bien.

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