Bien connu pour sa boutique en ligne, LDLC dispose également d’un studio de développement. Leur premier jeu, Catch The Dragon, est d’ailleurs d’ores et déjà commercialisé pour les propriétaires d’espaces de réalité virtuelle.
Basé à Limonest près de Lyon, LDLC VR Studio propose depuis janvier 2020 des expériences sur-mesure pour les salles de réalité virtuelle. Leur premier jeu, baptisé Catch The Dragon, repose sur le principe du free roaming. Le jeu s’adresse aux 12 ans et plus et oppose deux équipes de 2 à 3 joueurs.
Chaque joueur est équipé d’un casque de réalité virtuelle et d’un PC embarqué sur le dos. L’équipe des divinités nordiques de l’Ordre affronte ainsi l’équipe des forces démoniaques du Chaos. Chaque participant choisit son style de jeu entre le mage et son bâton magique, ou l’archer et son arc maléfique. Les deux équipes ont un objectif commun : récupérer la force du dragon le plus de fois possible sans se faire neutraliser par la force ennemie.
La première salle a en bénéficier est l’espace Multiworld situé à Bourgoin Jallieu. LDLC VR Studio serait également en discussion avec d’autres salles de réalité virtuelle pour les équiper. L’expérience nécessite un espace de 200m², toutes ne pourront donc malheureusement pas en bénéficier. N’hésitez pas à consulter notre annuaire afin de trouver la salle VR la plus proche de chez vous !
Un marché d’avenir
LDLC arrive là où on l’attendait le moins. Pour autant, le projet est né de l’esprit de Laurent de la Clergerie, Président et Fondateur du Groupe LDLC :
« Les jeux qui vont naître de notre studio de création offriront une expérience à la croisée des mondes du jeu vidéo classique et de l’attraction. Demain, les gens sortiront pour vivre des expériences immersives de réalité virtuelle, de la même manière qu’aujourd’hui on sort pour aller au cinéma. Et je suis persuadé qu’ils rentreront chez eux avec des étoiles dans les yeux. Je suis impatient ! »
Pour le moment, le studio rassemble une équipe de six personnes. Le groupe prévoit des recrutements cette année afin de pouvoir proposer davantage d’expériences pouvant notamment être utilisées sur des espaces plus petits.
