Lors de l’annonce des jeux PlayStation VR jouables sur le salon, nous étions impatients de pouvoir nous essayer au titre d’Hidetaka Miyazaki, le papa de Dark Souls et Bloodborne. Une découverte totale pour se faire un avis à moins de deux semaines de la sortie de cette exclusivité PlayStation VR.
Un jeu magnifique !
La première chose qui saute aux yeux, vous l’aurez compris, c’est la beauté du jeu, que ce soit à l’intérieur comme à l’extérieur de l’orphelinat. Une petite pépite visuelle notamment rendue possible grâce à un déplacement par dash sur des spots prédéfinis, à l’instar de la démo VR de The Last Guardian. Le fait de contrôler l’endroit où le joueur se place permet aux développeurs de détailler avec précision les éléments du décor proche de celui-ci, tout en limitant la qualité graphique des plus éloignés. La multitude de points de déplacement à l’intérieur des bâtiments offre tout de même un semblant de liberté.
Quid du gameplay ?
Côté gameplay, l’ambiance sonore sur le salon ne nous a pas réellement permis de comprendre les instructions transmises par la voix-off doublée en français (uniquement lors de notre second passage). On peut au moins noter la présence de deux bagues, une dans chaque main, permettant d’interagir avec des éléments luminescents, qui dévoilent des bribes de la vie des personnages. Une montre gousset permet également de voyager entre différentes époques de l’histoire de l’orphelinat. La fée que l’on incarne a également la capacité de faire renaître tout élément mort, en ayant auparavant aspiré la vie à d’autres êtres vivants, tels que des plantes, des fleurs, des fruits, etc…
Connaissant la qualité du travail de FromSoftware, cet essai ne nous a que plus amplement donné envie de replonger dans l’univers de Déraciné, qui sortira le 6 novembre sur PlayStation VR. Si vous ne voulez pas rater l’actualité future concernant Déraciné, continuez de consulter et lire Realitevirtuelle.com.
